Sherlock Holmes

Une série déjà ancienne, mais quelle série ! Hyper fidèle à l'oeuvre de Conan Doyle, elle compte une quarantaine d'épisodes en 10 ans.

On n'oubliera pas la composition étonnante de Jeremy Brett dans le rôle titre, toujours entre dépression et pétage de plomb (Robert Downey Jr. n'a rien inventé). La reconstitution de l'époque victorienne et soignée et l'ambiance générale et délicieuse.

A ne pas manquer si l'on aime ce personnage iconique (A noter que deux série sur Sherlock holmes sont encore en developpement en 2013).

Série que j'ai adorée ! Et cet acteur : Jérémy Brett ...incroyable talent ( décédé ... snif )

Un fois la série visionnée , je n'avais qu'une envie ...enquêter sur tout ce qui trainait eut qui me posait questions  ...  !!!Si , si, je vous assure !

A visionner aussi avant de visiter Londres et son musée de Sherlock Holmes au 221b Baker Street : ici....grand moment d'émotion quand vous arrivez devant la maison !!! Les enfants avaient adoré ...vous pouvez vous asseoir dans le fauteuil de Sherlock, mettre son chapeau et utiliser sa loupe ...Wahou !!!!!

L'histoire se déroule dans le département de neurochirurgie du Rigshospitalet (l'hôpital du royaume) de Copenhague, le principal hôpital de la ville. On suit un petit nombre de patients et membres de l'équipe médicale découvrant un monde surnaturel.

Tournée à la même époque que Twin Peaks cette série crée par le réalisateur danois Lars von Trier, partage avec elle se mélange de fantastique, de poésie, et d'atmosphère lourde de folie et d'humour.

Moins connue que la précédente cette série merite néanmoins largement le détour.

(A noter qu'un remake US a été réalisé "Kingdom Hospital" adaptaté par Stephen King en 2004)

Urgences :

Ha ! NFS, Chimie Iono, gaz des sangs, Georges Clooney en pédiatre, toute une époque !

Voici une série qui a quand même été créée par Monsieur Steven Spielberg himself et Michael Crichton l’auteur (entre autres) de « Mondwest » et «  Jurassic Park ».

Elle a initié le style « caméra à l’épaule » à la télé, genre « vous êtes au cœur de l’action ». Comme « Twin Peaks elle reprend le mode feuilletonisant qui va accrocher des millions de téléspectateurs pendant plus de 15 ans.

Perso, j’ai décroché quand Clooney a quitté la série. ça commençait a tourner un peu en rond.

Les Sopranos,

Très influencée par les films de gangsters de Scorcèse (surtout « Les affranchis ») Cette série raconte la vie quotidienne un peu dépressive d’un parrain de la mafia du New Jersey. Cette série est considérée par beaucoup comme la meilleure série de tous les temps. Il faut voir l’immense  James Gandolfini (qui nous a hélas quitté il y a quelques semaines) trainer sa carcasse et se prendre la tête dans cette histoire entre ses problèmes familiaux, ses infidélités matrimoniales et son buisness de truand, ses caves à liquider souvent avec brutalité. Tous les acteurs sont formidables, les épisodes parfois inégaux sont dans l’ensemble d’une qualité d’écriture rarement égalée.

Six Feet Under

On a découvert cette série un peu tardivement. On a commencé a regarder les 2 premières saisons (il y en a 5 en tout). La série a pris un petit coup de vieux, probablement dans la forme mais reste passionnante. L’histoire raconte la vie des membres d’une famille qui  bascule lorsque le père meurt dans un accident, laissant ainsi la direction de la société de pompes funèbres qu'il a fondée à ses deux fils.

On parle ici de personnages très ordinaires (si ce n’est par leur profession) et on aborde des thèmes de la société contemporaine (famille, folie, drogue, homosexualité, solitude adolescence, couple, adultère, etc.) avec une grande justesse. Les acteur sont encore une fois excellents (on notera la présence du futur Dexter : Michael C. Hall)

24 heures chrono

L’idée de départ de la série était formidable : l’histoire se passe en temps réelle et toute la saison tient sur les 24 heures d’une seule journée. Pendant cette très longue journée Jack Bauer (Kiefer Sutherland) doit empêcher le président des USA de se faire tuer, ou contrecarrer une attaque terroriste. Bon, on voit bien que le héros ne trouve jamais 5 minutes pour aller au petit coin. On n’a l’impression qu’il se passe plus de chose en 24 heures de leur vie que pendant toute la notre et que Jack Bauer est décidément le seul (avec Bruce Willis) à pouvoir sauver l’Amérique.

Si les premières saisons étaient captivantes il faut bien reconnaître que sur la longueur la série est devenue son propre pastiche. On a même pas réussi a regarder la dernière.

La FOX a annoncé le retour de Jack Bauer pour la rentrée prochaine.

La série « claque-au-coin-de-la-tronche » de Shawn Ryan. Comme pour les premières saisons d’urgence, Ryan a opté pour le style caméra à l’épaule, façon documentaire. On suit une brigade de choc de la police de L.A. qui lutte, à sa façon, contre les gangs. A sa façon, oui, car souvent on ne sait plus vraiment qui sont les good guys et qui sont les bad guys.

Il faut d’ailleurs passer le cap de la première saison avant de vraiment s’attacher à cette bande de lascars pas très clairs. Dans le rôle du leader de l’équipe Vic Mackey, l’acteur Michael Chiklis est éblouissant. Son personnage est un concentré de complexité psychologique entre le bien est le mal.

Une série qu’on adore (c’est mon cas) ou qu’on déteste.

Lost

Sans doute ma série préférée, je suis même assez inconditionnel. J’ai aimé la saison 2 que tout le monde a détesté et le final ne m’a pas déçu (sans doute parce que je savais que ce n’était pas le plus important). Ce genre de série-feuilletonnante dont l’intrigue est la plupart du temps inventée au fur et à mesure présente l’intérêt de fidéliser leurs spectateurs. Si tu loupes un épisode tu comprends plus rien. Lost a su en ce domaine créer une mythologie riche et captivante, fascinante même. Certain lui ont reproché de poser plus de questions que de réponses. Mais dans une série comme celle-là c’est le voyage qui compte, pas l’arrivée. Très peu de séries fantastiques ont la chance d’avoir une conclusion (beaucoup sont arrêtée avant, faute de succès), Lost a eu cette chance mais il existe peu de comparaison possible.

En tout cas si vous n’aviez pas réussi à suivre la série lors de sa diffusion, payez vous les DVD et offrez vous le voyage vers l’île, ça vaut le voyage…

Voici nos deux mails :

BDG CM2: boutdegommeCM2@gmail.com

BDG CE1 : boutdegomme5@gmail.com

Pourquoi

Star Wars

c'est important?

D'abord ce n'est pas Star Wars, c'est "La guerre des étoiles", parce qu'à l'époque, en 1977, on ne savait pas que le titre, en vrai, c'était Star Wars, alors on disait "La guerre des étoiles".

J'avais vu un extrait du film chez Michel Drucker (hé oui déjà à l'époque !). On voyait deux types, dont un grand noir avec un casque de nazi, se battre avec des épées lumineuses. Tout de suite on voyait que ce n'était pas un film de Science fiction comme les autres. Tout avait l'air très réaliste : les costumes, les décors, et même le bruit de l'épée laser.

Druker annonçait qu'aux USA les gens faisaient la queue pendant des heures pour voir le film, que c'était le plus grand succès de tous les temps.

Un film de 11 petits millions de dollars, réalisé par une bande de jeunots avec des maquettes et des ordinateurs.Quand le film est sorti, c'était la première fois que j'assistais à une séance en dolby stéréo. Bon,  comme la salle était pleine, on était trop à gauche et du coup on avait le son du côté gauche à fond les ballons et on entendait rien du côté droit. C'était pas encore au point.

En tout cas ce fut une claque ! C'était la première fois que j'entendais le public applaudir à la fin d'un film.

Je suis retourné voir le film quelque semaines plus tard tellement l'effet d'addiction à cet univers incroyable était fort.

J'ai du le voir plus de 20 fois au ciné (je ne compte pas en video, DVD et blu Ray)

Mon monde avait changé : j'étais devenu cinéphile, je commençais à aller voir des films tout seul, à faire des critiques et des fiches techniques dans des cahiers et j'achetais ma première musique de film (Star Wars de John Williams).

On commençait à voir des trucs de guedin sur les écrans (Spielberg et son rencontre du troisième type l'année suivante et Alien, le huitième passager en 79).  C'est grâce et à cause de ce film qu'on se tape depuis des tas de sagas interminables bourrées d'effets spéciaux (et souvent peu de scénario).

Oui, Star Wars , c'est important !